LE WAÏKRU
     

WAI KRU

 

 Définition : 

 

 Wai kru : Wai:  montrer le respect à nos aînés, les gens font ceci en joignant leurs mains comme le geste d’une prière. Le niveau de la hauteur du salut compte énormément il démontre toute la détermination du respect que vous porté a autrui.

                 Kru: se traduit comme atchan maîtres mentor,     

 

Les origines :

 

Avant de commencer un combat, les nakmuay exécutent une danse traditionnelle :

 

Le wai kru :

  Le rite de rendre hommage par le biais de cérémonies aux maîtres, est exécuté au plus grand degré par tout le peuple thaïlandais.

Cette tradition agit en tant que pilier philosophique, qui soutien cet art !

Il caractérise  la gratitude que l’on porte à son bienfaiteur.

 

Le plus notable de cet art martial est le wai kru.

 

1) il a plusieurs effets bénéfique  tel que :

 

·         1) diminuer l’excitation et l’effort avant le combat.

 

·        2) se concentrer

 

·        3) prendre connaissance du ring (ses repères)

 

·        4) percevoir les points faibles de sont adversaire

 

·        5) saluer et menacer son adversaire

 

·        6) échauffer et étirer son corps

 

·        7) prendre confiance en soi

 

·        8) respect à sa majesté le roi

 

codification et mise en place du wai kru :

 

Auparavant il n’y avait pas de rituel avant de combattre, les adversaires s’échauffaient en exécutant le lom way(shadow léger), en examinant le cercle de combat ou il évolué.

Par la suite ceci s’est transformé en enseignement en particulier  à l’avant  combat.

Chaque camp développe  son propre ram muay.

Selon les rites ancestraux, plusieurs figures retracent des mouvements des personnages mythologiques de l’histoire du ramayanna*(Hanuman, l’archet).

 

Le wai kru fait parti de l’enseignement dans les écoles, chaque année les étudiants ont une journée consacrée au rituel, afin de remercier les maîtres.

A l’école, il a lieu le JEUDI, journée réservé au professeur.

 

 

LA MUSIQUE :

 

La musique est une partie intégrale du muayboran.

Cet art de défense  est une prolongation d’un des arts dramatique de la thailande.!

 

PRATIQUE :

 

Avant de pénétrer sur l’air de combat (cercle ou ring) le nakmuay s’agenouille devant son coin et se prosterne trois fois, puis il monte en posant un pied sur la première marche et pose l’autre sur la troisième marche !

Il passe au dessus des cordes, la tête est la partie la plus importante du corps dans la culture thaïlandaise,

Après avoir effectué les quatre coins du ring, il se dirige au centre du ring, se met à genou et commence le rituel  en respectant le code de l’école d’où il vient.

Toute la danse et chaque geste se répétera trois fois.

1) le respect au maître entraîneur, l’école, et l’art du muayboran.

 

2) le respect aux parents, famille et ancêtres

 

3) rendre hommages à la croyance religieuse ou spirituelle.

 

La danse doit être parfaite, élégante,et doit impressionner son adversaire.

En ayant l’équilibre parfait, l’élégance du geste et la maîtrise technique de la danse.

 

Le mongkong : 

L’endroit du corps la plus sensible est la tête, et c’est la partie que le mongkong est censé protéger.

 

Le mongkong est un bandeau de tissu étroit, contenant des lettres et symboles sacrés, roulé fermement, il ressemble  à une cordelette.

Il est enveloppé par  un deuxième tissu qui a été manipulé par l’atchan de la cérémonie.

Les deux sont réunis pour être tissés et  former une queue qui s’étend derrière lui.

 

Avant le wai kru, le mongkong donnait une indication sur la région et le style du nak muay.

 

 

Le praciat 

 Placé autour du bras, cette amulette contient des formules ou symboles qui  étaient écrite par des moines lors des cérémonies .c’est un porte bonheur .

 

 

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